Les chiffres varient – de 47 à 70% selon les études – mais la conclusion est partagée par tous : c’est la créa qui a le plus d’impact sur les résultats d’une campagne à la performance.
Roman Goldberg
Published on 20 mai 2021
Les chiffres varient – de 47 à 70% selon les études – mais la conclusion est partagée par tous : c’est la créa qui a le plus d’impact sur les résultats d’une campagne à la performance.
Des vidéos, toutes les marques en ont, mais peu osent aller jusqu’à les diffuser avec pour ambition de faire cliquer sur la 1ère plateforme vidéo : YouTube.
En cause, dans la majorité des cas, une méconnaissance des bonnes pratiques et une crainte de ne pas avoir LA bonne vidéo.
Quelle est la bonne durée ? dois je avoir une vidéo différente sur desktop et mobile ? le logo on le met ou pas ? ma vidéo Facebook je peux la diffuser sur YouTube, et mon spot TV alors ?…
Pour ce troisième rendez-vous RunRun Connect (pour en savoir plus sur ces events, cliquez ici) Yannick Wittenauer, co-fondateur de VideoRunRun décrypte les bonnes pratiques en terme de production et de diffusion en synergie de vidéos à la performance.
« Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise vidéo ». La pub digitale bouscule et bascule d’un monde créatif, de la bonne idée (et des prix à Cannes) à un monde beaucoup plus pragmatique, mesuré par l’action : une vidéo, elle fait cliquer, ou pas.
Et dans ce pragmatisme, les US excellent. Depuis 2009, nous tirons des enseignements des campagnes les plus iconiques, qui ont propulsé des marques jusqu’alors inconnues, qui ont fait le creuset d’origine de la techno VideoRunRun, qui impacte à la fois la créa et le média.
Voici 4 conseils pour créer des assets vidéos impactants et performants :
Avez-vous déjà analysé la vidéo de Dollar Shave Club? Nous oui ;-).
Elle coche toutes les cases des 5 piliers majeurs qui doivent figurer dans le script d’une vidéo qui fait cliquer :
Capter l’Attention : on fait référence à un « hook », littéralement un crochet pour attraper l’internaute. Privilégier une incarnation – fondateur ? comédien ? client ? face caméra, et avec du son car sur YouTube on est pas sourds.
Apporter une solution au problème posé : la vidéo vend un produit ou un service. Montrez-le. C’est une pub, c’est accepté, vous pouvez l’assumer. Il est possible de le mettre en scène mais aussi d’intégrer un scroll sur site qui va préparer l’internaute à naviguer sur le site.
Faire mémoriser l’image de marque : à l’oral ou à l’écrit, citez la marque, affichez le logo, même l’url… et le plus tôt le mieux (regardez les premières secondes de la vidéo Dollar shave Club. N’attendez pas le packshot de fin !
Prouver les bénéfices du produit et réassurer : toutes les marques ont des scores de consommateurs ou des citations de clients à mettre en avant. Utilisez-les.
Appeler à l’Action de manière explicite et dès le début de la vidéo. Cet appel doit être aussi bien écrit que verbal.
A partir de là, ajoutez une surcouche de branding, à vous de choisir entre l’humour, l’inspiration ou l’éducation pour embarquer et raconter l’histoire de façon impactante.
Encore un tip : dans ce type de vidéo, la durée importe peu, mais le logo compte beaucoup.
Pas besoin de partir de 0 : vous avez surement déjà des vidéos !
Les campagnes réalisées avec des vidéo existantes peuvent être performantes à condition de leur injecter les ingrédients incontournables pour vendre, basés sur les 5 piliers précédemment cités, grâce à des Quick Fix réalisés en post production.
Pour connaître le potentiel de votre vidéo, qu’elle soit Facebook, TV, Instgram ou autre, nous la passons au filtre de notre grille d’analyse pour la scorer sur 25 ingrédients tels que l’incarnation, présence de voix off, CTAs…
Si vous souhaitez mesurer le potentiel de performance sur YouTube de l’une de vos vidéos, demandez son Creative Outcome Index ici.
L’efficacité de la vidéo dépend de plusieurs éléments, intro, bande son, call to action, device, durée… Pourquoi lancer une seule vidéo ?!
A partir de votre master initial posez-vous la question de savoir ce qui peut être modifié pour créer des variantes et les tester.
L’objectif : identifier la « bonne » vidéo en face de chaque audience. Et plus il y aura de variantes, plus il y aura de chances de trouver la plus performante pour chacune d’elle.
Pour tous nos clients, nous mesurons à chaque campagne le ratio Worst To Best : il s’agit de l’écart entre la meilleure et la moins bonne des vidéos sur le KPI objectif de la campagne.
Par exemple, sur la campagne du Petit Ballon de Noël 2020, la meilleure vidéo a généré 386% de ventes de plus que la moins bonne. Sur des ventes, ça compte.
Pour dormir plus tranquille, évitez de faire du guess marketing sur vos campagnes de pub.
La botte ultime, c’est d’utiliser les insights qui remontent des campagnes pour tirer des enseignements créa et les injecter dans les futures vidéos et campagnes.
Quel type d’intro a mieux performé ? Quel était le CTA ? La LP ? Le scroll sur site a t’il permis d’améliorer les conversions…?
Les data permettent de gagner en agilité et en impact en pivotant sur des faits. Un cercle vertueux qui consolide et conforte l’approche créative des équipes marketing au fil des campagnes.
Vous pensez encore que YouTube ne fait que du branding ?
Avec cette approche créa et média, VideoRunRun apporte une solution qui maximise le ROI des campagnes de ses clients de x4 à x12.
Contactez-nous pour en savoir plus ou avoir une démo complète de cette solution.
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